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Notre vision

| Le capital créatif peut être développé et géré |


Suzy et moi rêvons d'un monde meilleur. Nous croyons que, pour que cette amélioration soit réelle, chacun doit y mettre son âme. L'âme est l'énergie de la passion qui rend tout possible. Mais, pour qu'elle soit mobilisée, cette puissance doit être cultivée - et pour l'humain, pour l'organisation et pour l'ensemble de la société, cette culture est aujourd'hui impérative.

Dans les derniers 11 ans, nous avons eu le plaisir d'aider les gens à se passionner pour leur capital créatif afin qu'ils puissent donner le meilleur d'eux-mêmes à leur vie personnelle et professionnelle.

Nous avons également répondu aux besoins des organisations qui désiraient des travailleurs à l'esprit indépendant, possédant une forte dose de motivation et de passion, prêts à prendre des risques et libres de répondre de façon innovatrice aux changements.

Nous les avons défiés de répondre aux questions suivantes : Comment serait l'environnement de travail si votre entreprise encourageait tout le monde à respecter les différences, à partager une vision commune et à engager sa passion dans sa réalisation? De quelle manière la formation et les outils de créativité pourraient-ils améliorer la productivité et la satisfaction au travail? Comment planifiez-vous l'apprentissage et la croissance continus? De quelle façon pouvez-vous mobiliser les motivations intérieures et la volonté d'une personne?

Utopie ? Questions difficiles ? Peut-être.

Mais, la mobilisation du capital créatif exige que l'on explore de nouvelles frontières et que l'on se demande régulièrement : «Pourquoi pas?»

L'IMPORTANCE DE GÉRER SON CAPITAL CRÉATIF

 

L'âge de l'information a des retombées négatives sérieuses sur l'ordre social. La surcharge d'informations impose un stress physique et psychologique sévère sur l'organisme humain et son processus décisionnel: les résultats sont responsables d'une longue liste de mal/aises.

Dans sa prophétie de 1965, Alvin Toffler définissait le «choc du futur» comme la réaction négative humaine face au constant déluge d'informations et de changements. Le futur est ici/maintenant et le stress commercial ou «urbain» est épidémique. Malgré cela, l'information continuera de se multiplier et son rythme de s'accélérer.

Le monde est devenu une jungle. Pour y circuler adéquatement, quatre formes de connaissance sont indispensables à la survie humaine.

Les voici, par ordre croissant d'importance et de valeur:

1.- L'information cognitive : le «savoir quoi», soit l'ensemble des informations liées à une fonction professionnelle, technique ou à une activité spécifique, qui peuvent être enseignées et accréditées. Cette formation provient des milieux académiques et/ou de stages d'enseignements complémentaires ou d'apprentissage en milieu de travail.

2.- Les connaissances de pointe : le «savoir comment», soit l'ensemble des informations qui permettent d'utiliser le «savoir quoi» dans les situations complexes du quotidien et d'offrir la possibilité de transformer volontairement ces situations par l'ajout d'une valeur. Sachant qu'aucune situation est identique à la précédente et que rien ne prépare à l'imprévisible, le «savoir comment» est la capacité d'appliquer le «savoir quoi» en y ajoutant notre touche personnelle.

3.- La compréhension systémique : le «savoir pourquoi», soit l'ensemble des informations qui nous donnent une perspective globale et qui permettent de lier la cause à l'effet. Dans notre monde de changements, de mondialisation et de responsabilisation, cette connaissance facilite l'anticipation des enjeux ainsi que la bonne gestion des processus. Que l'on soit gestionnaire ou non, elle peut nous aider à juger efficacement les conséquences d'une décision tant dans notre organisation que dans notre vie personnelle.

4.- L'apprentissage de la gestion du capital créatif: le «savoir être», soit l'ensemble des informations qui démystifient et stimulent la motivation, l'intelligence créative, la vision personnelle et la volonté de réussir. Ce sont le «quoi», le «comment» et le «pourquoi» liés à la gestion et l'estime de soi et de son capital créatif, ou de son âme.

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Une formation en «gestion du capital créatif» rend la personne plus consciente de la façon dont elle peut répondre adéquatement à ses besoins personnels. Ceci augmente son désir de participer à un continuum d'améliorations et de contribuer à la qualité et à la valeur de la vie. Une organisation n'est que le reflet des personnes qui y travaillent. Il importe donc que les ressources humaines disposent des outils qui leur permettent de transformer leurs espoirs, leurs rêves, leurs attentes et leurs projections en réalisations pragmatiques.

Parce que Suzy et moi sommes convaincus qu'une «maison divisée ne peut prospérer», nous nous dévouons à enseigner aux personnes et aux groupes la façon d'unifier et de mobiliser leurs ressources «intérieures» et d'éveiller leurs passions créatives.


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