BULLETIN VOLUME 2, #6
Des idées pour les personnes en quête d'une vie puissante.
CONTENU
C'était une autre superbe journée de juillet à San Isidro - Costa Rica - et rien n'indiquait que les prochaines heures changeraient la vie de tant de personnes. À 700 mètres d'altitude et marquant l'entrée de la Vallée de El General, notre petite ville, prospère et amicale, bouillonne de vitalité économique. Ce matin-là, j'avais quitté mon bureau situé sur la rue principale, à l'ouest du centre-ville, pour sauter dans mon Jeep et me rendre à Mayamü, du côté de l'océan Pacifique. Depuis l'aube, je tentais d'écrire mais une étrange sorte d'énergie, comme une immobilité dense, chaude et humide, pénétrait tout. Je cherchais à la fois un meilleur environnement de travail et un peu d'inspiration.
Dans un rayon de quelques kilomètres de la ville, peu importe la direction, il existe plusieurs micro-climats. Dans cette région du sud du pays, les montagnes Talamanca rappellent pourquoi on surnomme le pays la "Suisse des Amériques".
Après avoir décidé d'emprunter un charmant circuit de 20 km, je grimpai à plus de 2000 mètres d'altitude avant de redescendre à 400 mètres. La route continuait jusqu'à la plage, à 13 km de là, mais j'avais du travail à faire.
En atteignant le plus haut point - Alto San Juan - je fus étonné de sentir une sorte de "froidure" canadienne. Je fermai les vitres du véhicule et mis le chauffage. Pourtant, le ciel était clair et il n'y avait pas de vent. J'entrepris la descente et rencontrai la chaleur tropicale quelques centaines de mètres plus bas.
À Mayamü, je quittai la route pour emprunter une crête et pénétrer la forêt primaire. J'avançai doucement sur l'étroit sentier longeant la montagne, heureux d'être enveloppé par la luxuriance et les fragrances de la jungle. Je stationnai là où je pouvais admirer l'océan et les vallées mystiques Barú qui se déployaient plus bas.
Je me concentrai sur mes notes et commençai à écrire. Une demi-heure plus tard, je sentis une rafale de vent secouer brusquement le Jeep. Je levai la tête pour voir des nuages presque noirs se déplacer à toute vitesse au-dessus des montagnes. C'était spectaculaire.
Puis vint la pluie. J'adore les orages tropicaux. Assis derrière le volant, je regardais d'immenses gouttes d'eau s'écraser bruyamment ça et là sur le capot. Puis, de simple averse, l'ondée se transforma rapidement en torrent. J'avais déjà vu des pluies violentes mais, cette fois-ci, c'était différent. Je me souviens encore comment cette pluie semblait en colère.
Je démarrai le véhicule, pressé de quitter les lieux. Tout juste avant d'arriver au Alto San Juan, la pluie cessa brusquement. Quelques mètres plus loin, tout était sec. Une fois à San Isidro, je constatai qu'il n'avait pas encore plu. Mais, le déluge ne se fit pas attendre. Des gouttes de la grosseur d'une balle de tennis se mirent à tomber. Dans notre ville sans vent, elles s'abattaient sur le pavé dans un flot perpendiculaire incessant. Chacune d'elles rebondissait de plus de 90 centimètres dans une explosion mouillée avant de retomber avec une intensité accrue. La pluie tombait si fort que nous ne pouvions voir l'école de l'autre côté de la rue, à moins de 18 mètres de notre bureau.
Assourdis par le son de l'eau frappant notre toit de métal, nous oubliâmes l'idée de nous mettre des bouchons dans les oreilles pour boucher les fuites et construire des barrages à l'inondation qui menaçait. L'ouragan César s'éternisa ainsi pendant 15 heures.
Le lendemain matin, les désavantages de la vie dans une vallée appuyée sur une cordillère étaient évidents. Elles avaient agit comme un entonnoir et dans la tempête en furie, les rivières se mirent à dévaler les pentes.
Des sections complètes de montagnes s'écroulèrent comme des morceaux de Baba au rhum saturés de liquide. D'innombrables acres de terre furent totalement emportés et 3600 maisons disparurent. Il y eut plusieurs morts. Quatre-vingt avalanches bloquèrent l'autoroute Inter-américaine menant vers le nord à la capitale San José. Tous les ponts qui permettaient de quitter la ville s'étaient écroulés.
Dévastée après cette visite inattendue, notre magnifique petite vallée se trouva isolée du reste du monde pendant 5 semaines. Cela me donna amplement le temps de réfléchir sur la nature du changement.
Bénéfique ou dramatique, et puisque "prévenir, c'est guérir ", il mérite qu'on s'y arrête tous pour l'examiner. Or, j'ai découvert qu'il existe 8 sources génératrices de changement et que nous avons une influence directe sur 4 d'entre elles et indirecte sur les autres. Le changement provient donc :
1. De notre "intérieur" : Ici, nous avons une influence directe sur cette source puisque si nous décidons de changer quelque chose, nous pouvons passer à l'action. Nous pouvons aussi ignorer notre intérieur et ne rien faire.2. Des êtres chers : Nous avons une influence directe sur les changements qu'ils apportent dans notre vie car nous pouvons gérer nos relations par la négociation, les compromis et beaucoup d'amour.
3. Du marché : Quoique notre influence sur les conditions du marché soit indirecte, il est possible de se concentrer sur l'offre. En nous regroupant, nous pouvons demander ou répondre à la demande.
4. De la compétition : Nous pouvons directement influencer le changement même s'il est imposé par les autres « joueurs ». Nous pouvons adopter les "meilleurs pratiques", nous concentrer sur des idées, produits et services nouveaux, pour ensuite ajouter une valeur à l'offre, ou nous adresser à des niches de marché ignorées de notre compétition ou mal servies par nos rivaux.
5. Du gouvernement : Même de façon indirecte, il est possible d'influencer les changements imposés par les politiques gouvernementales. On peut lutter contre les règles et les lois de l'intérieur. Ou changer de "jeu".
6. Des cas de « force majeure »: La Nature semble plus puissante quand on se trouve au cur de l'ouragan que dans un environnement stérile à autoriser un projet de coupe à blanc. Indirecte, notre influence est tout de même importante si on agit écologiquement pour le bien de la Terre et de ses habitants.
7. De la communauté globale et/ou de sa macro-économie : Les disparités et l'injustice dans le village mondial ont des répercussions internationales. La tragédie du 11-09-01 en est un triste exemple. Si on questionne l'origine d'un tel acte, on peut découvrir une réponse dans cet indice : Quand les gens vivent dans le désespoir, ils commettent des actes désespérés. Bob Dylan nous rappelle que : "Quand on a rien, on a rien à perdre."
La macro-économie provoque aussi des changements. Par exemple, l'industrie internationale du tourisme a dû s'ajuster au revirement subit de la situation depuis le 11 septembre 2000. D'un façon indirecte mais indéniable, nous pouvons influencer le changement global en posant les bons gestes localement.
8. Du Cosmos : De récentes découvertes démontrent que l'univers quantique réagit à la façon dont l'individu pense. Si les changements du Cosmos sont effectivement des "cas de force majeure" (Acts of God), nous pouvons alors faire plus que seulement se "soumettre à eux lorsqu'ils se présentent". Nous pouvons nous aligner avec les forces créatives de la Nature et commander un meilleur futur pour nous. En reconnaissant que le changement est constant, nous pouvons apprendre à l'influencer en notre faveur - peut importe sa source. La science et la religion nous expliquent que chacun de nous peut établir la relation qu'il veut avec le Cosmos.
Peut-être serait-il bien de considérer comment l'Infini favorise "d'étroites" relations parce que, dans la zone sud du Costa Rica, des semaines après l'ouragan César, j'entendais encore des histoires de personnes ayant "miraculeusement" été sauvées du désastre. J'ai constaté avec grand intérêt que chaque conteur, dont moi, disait avoir une relation privilégiée avec le Cosmos qui lui avait permis de survivre et de gérer ce changement comme une opportunité.
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Ahhh! L'été est enfin arrivé. Cependant, le projet que je dois bientôt remettre à mon éditrice m'amène à en passer une bonne partie à Montréal. Dans ma ville, il n'y a pas grande chose à faire sauf (hum ) à l'exception de la pluie de Festivals Internationaux : Feux-d'artifice, Jazz, Comédie, Nuits d'Afrique, Francophonie, Grand Prix, Folklore, Danse, Fleurs, Bouffe, Bière, et plus encore. Si vous voulez visiter chez-nous, consultez le site de la ville de Montréal pour débuter: http://www.ville.montreal.qc.ca.
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Quand vous serez prêt à savoir ce qui se passe dans le « vrai monde », vous trouverez 18 journaux, 80 magazines, 14 services de nouvelles et d'innombrables stations de radio à http://www.aldaily.com . Ahhhhhhhh L'été!!
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"À la fin, ce n'est pas le nombre d'années dans votre vie qui compte. C'est la vie dans vos années." Abraham Lincoln
"Parfois, nous regardons si longtemps la porte qui se ferme que nous voyons trop tard celle qui est ouverte. » Alexander Graham Bell
« Si vous voulez gagner n'importe quoi - une course, vous-mêmes, votre vie - vous devez devenir un peu fou." George Sheehan
"Éloignez-vous des idioties de la vie. N'accordez rien de majeur aux choses mineures." Tony Robbins
"L'ascenceur menant au succès est hors d'usage. Vous devez utiliser les escaliers une marche à la fois." Joe Girard
"Je fais toujours ce que je ne peux faire pour apprendre comment le faire." Pablo Picasso
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Il y a une magnifique scène dans un court film éducatif sur la « vision » qui démontre "le pouvoir de Un".
Commenté par le futurologue Joël Barker, ce vidéo présente un homme qui marche le long d'une plage déserte au coucher du soleil. À un certain moment, il remarque au loin une personne qui semble danser ou pratiquer une chorégraphie.
En s'approchant, on voit un homme qui se penche, ramasse quelque chose qu'il lance ensuite dans l'océan pour tout de suite répéter la séquence. Sans cesse, il lance ce qu'il ramasse aussi loin qu'il peut dans la mer.
La caméra se rapproche encore et on peut le voir ramasser une des étoiles de mer échouées sur la plage que, l'une après l'autre, il rejette à l'eau. Intrigué, le marcheur l'aborde et lui demande ce qu'il fait. "Je jette ces étoiles de mer à l'océan." répond-il. Elles s'échouent sur la plage et la marée descend. Si je ne les rejette pas à l'eau, elle mourront, séchées par le soleil et le manque d'eau."
Un commentateur nous informe alors que, chaque année, des milliers d'étoiles de mer s'échouent sur cette plage et que ce phénomène "naturel" se produit sur des douzaines de plages le long de la côte de Baja.
S'adressant au jeune homme, le marcheur lui demande : "Ne réalises-tu pas que tu ne fais aucune différence en rejetant quelques misérables étoiles de mer dans l'océan? C'est une tâche impossible. Il y en a beaucoup trop."
L'homme sourit, se pencha pour en ramasser une autre et la lancer dans la mer aussi loin qu'il pouvait, avant de répondre : "Je viens juste de faire toute la différence dans la vie de celle-là!
Ce petit film nous fait réaliser que - peu importe la situation et malgré les statistiques ou les probabilités - une personne qui a une vision , qui actualise "l'idée de bien faire", peut avoir un impact important dans la vie de quelqu'un, quelque part, d'une façon ou d'une autre.